Dons
Produire des spectacles de qualité, ça n'a pas de prix.
Mais un coût. Un coût toujours croissant, que, malgré votre fidélité incomparable et des soutiens institutionnels inestimables, la billetterie et les subventions ne couvrent pas entièrement.
Chaque saison est plus riche que la précédente, chaque création plus ambitieuses.
Nous ne pouvons rien faire sans vous.
Votre don vous donnera droit à un reçu fiscal (que vous pourrez déduire à 66% de vos impôts).
Quelques petits exemples de ce à quoi peuvent servir vos dons.
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50 euros (soient 16€50 après réduction fiscale)
Vous donnerez un texte tout frais à nos comédiens. Chaque nouveau spectacle donne lieu à une édition de texte, établi par nous-mêmes, d'après leurs sources originelles. Beaucoup de choses ont changé dans les pratiques éditoriales depuis la création des textes que nous travaillons, et nous avons besoin de ce retour au source. Ça prend du temps, et puis il faut ensuite imprimer cet outil précieux!
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115 euros (soient 38€ après réduction fiscale)
Nous répéterons un peu plus. Chaque création nous demande entre six mois et un an de répétitions. Parce que ce temps de recherche avec nos artistes est l'indispensable partenaire de la qualité que nous exigeons, nous œuvrons à le rémunérer au mieux. C'est que nous proposons pour une journée de travail avant la première (hors cotisations).
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250 euros (soient 82,5€ après réduction fiscale)
On passera trois heures avec nos spectateurs de demain. L'action culturelle et l'accessibilité à la Culture sont nos maître-mots. Nous passons beaucoup de temps tout au long de l'année à rencontrer des élèves de différents niveaux, partout en France, pour leur transmettre la bonne parole baroque. Gratuites pour les élèves, ces interventions et représentations se font souvent à perte, pour ne pas impacter trop négativement l'établissement scolaire. Grâce à vous, nous pouvons poursuivre cette action essentielle!
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500 euros (soient 165€ après réduction fiscale)
L'un d'entre nous aura de quoi se couvrir. Un costume neuf, comme on les aime, demande des mois de travail. D'abord de recherche, sur des tableaux, dans des musées, puis sur les étoffes, avant des semaines de retouches, d'ajustements, d'attention aux détails et à la passementerie.
Saviez-vous qu'un homme pouvait porter jusqu'à 360m de rubans en 1660?